RADAR est une structure chorégraphique implantée à Poitiers en région Nouvelle-Aquitaine depuis 2015.
Taos Bertrand a depuis sa création reçu le soutien des partenaires suivants :
le TAP-Théâtre auditorium de Poitiers | Orages, Rafales (production déléguée), La fin des forêts (2021)
le Ballet National de Marseille | Nymphe (2025)
le Centre chorégraphique national de Créteil direction Medhi Kerkouche | Nymphe (2025)
KLAP-Maison pour la danse, Marseille | Nymphe (2025)
Meltdown festival, Londres | brutal syntax (2023)
la Ménagerie de Verre | Vestiges (2021)
la Maison des Arts de Malakoff & la Nuit blanche Paris | “tanit”
Espaces Pluriels Scène Conventionnée Danse, Pau | La fin des forêts (2021)
la Briqueterie-CDC du Val de Marne | Rafales (2017)
la DRAC-Nouvelle Aquitaine | Rafales (2017), La fin des forêts (2021)
l’OARA (Office artistique de la région Nouvelle Aquitaine) | Rafales (2017), La fin des forêts (2021)
L’Institut français - Villa Kujoyama - Fondation Bettencourt-Schuller | “Vestiges” & “La fin des forêts”
la Fondation Beaumarchais-SACD | Rafales (2017)
l’ADAMI
la ville de Poitiers
Soutiens
Trauma bar und kino | Accueil en résidence
l’Échangeur-CDC Hauts-de-France (Studio libre)
le Centre national de la danse (mise à disposition de studios).
Taos Bertrand est danseuse-interprète et chorégraphe contemporaine.
Son travail est motivé par les questions d'écriture et de matérialité, d‘archives et de mélancolie, de prophéties et de troubles, de fantômes et d'avatars.
Elle signe des pièces comme “Orages" (2015) qui s’ancre dans son expérience de personne née sous X; “Rafales” (2017), pièce ondulatoire lauréate de la bourse d’écriture de la Fondation Beaumarchais-SACD, "Inside your bones" (2019) avec l'ensemble instrumental Ars Nova.
Lauréate de la Villa Kujoyama en 2019, elle crée à son retour du Japon un solo, “Vestiges” (2021), “La Fin des Forêts” (2022), trio sur une autre mythologie du cruising
Elle nomme ce dyptique “atlas des gestes mélancoliques” en écho à l’Atas Mnémosyne de l’historien Aby Warburg étudié par le philosophe esthétique Georges Didi-Huberman : cette recherche traite de la survivance des gestes et des images du pathos, des mémoires latentes et inconscientes, dans les formes artistiques.
Elle crée “promettre” en 2022, duo co-écrit avec et à l’invitation d’Erwan Larcher au Vive le sujet du Festival d’Avignon. La même année, elle crée Tanit, à l’occasion de la Nuit blanche 2022 à l’invitation du centre d’art de Malakoff et d’Aude cartier.
En 2023, elle crée “brutal syntax”, pièce commissionnée par le festival Meltdown curaté par Christine and the Queens performe dans “Hustle harder” d’Adam Linder au Museum of contemporary art of Sydney.
En tant qu'interprète, elle a notamment travaillé avec Olivier Dubois, Adam Linder, Rahim Redcar, Erwan Ha Kyoon Larcher, Valentin Noujaïm, Jean-Luc Verna, le collectif (LA) HORDE, Koki Nakano...
Son travail est désormais représenté par le bureau de production Latitudes contemporaines.
D’origine algérienne, elle vit à Aubervilliers.
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Formée en littérature et en philosophie en khâgne et à la Sorbonne ainsi qu’en danse contemporaine au Conservatoire des abbesses de Paris, elle a travaillé avec Olivier Dubois dans Tragédie et Auguri, Adam Linder, l’artiste pop Chris Redcar, Erwan Ha Kyoon Larcher, le réalisateur Valentin Noujaïm dans “Pacific club”, l’auteur Théo Casciani, le plasticien Jean-Luc Verna, la metteure en scène Marine Mane, le collectif (LA) HORDE, le pianiste Koki Nakano, Karine Saporta, Ingrid Florin, François Stemmer.
Avec RADAR, elle signe des pièces comme “Orages “(2015) en collaboration avec le plasticien Patrick Laffont qui s’ancre dans son expérience de personne née sous X; “Rafales” (2017), pièce ondulatoire où elle partage le plateau avec Léonore Zurflüh et le compositeur électro-acoustique Florent Colautti qu’elle rencontre à la Fondation Royaumont, pièce lauréate de la bourse d’écriture de la Fondation Beaumarchais-SACD, invitée en résidence à la Maison des arts de Malakoff et au Musée des archives nationales par le philosophe Florian Gaité et en production déléguée avec le TAP-Théâtre Auditorium de Poitiers; “Inside your bones” (2019), installation performative et sonore en collaboration avec l’artiste sonore québécois Jean-François Laporte et portée par l’ensemble instrumental Ars Nova (direction Jean-Mickaël Lavoie).
En 2019, son projet chorégrahique “Vestiges” est lauréat de la Villa Kujoyama à Kyoto et porte sur l’étude des rituels funéraires et du théâtre Noh. Elle crée à son retour du Japon un solo, “Vestiges” (2021) et “La fin des forêts” (2022) pièce réunissant les interprètes Sherwood Chen et Nitsan Margaliot, la créatrice sonore PYUR.
Elle nomme ce dyptique “atlas des gestes mélancoliques” en écho à l’Atas Mnémosyne de l’historien Aby Warburg étudié par le philosophe esthétique Georges Didi-Huberman : cette recherche traite de la survivance des gestes et des images du pathos, des mémoires latentes et inconscientes, dans les formes artistiques.
En 2021, elle présente “Ma peau, ce lieu”, à l’abbaye de Maubuisson au sein de l’exposition “Geoscopia” de l’artiste Charlotte Charbonel à l’invitation de Florian Gaité. Elle participe la même année à “Dialogue dansé”, performance in situ imaginée avec Luz Moreno et Léa Troulard dans le chantier du métro du Grand Paris.
En 2022, elle crée “Promettre”, duo co-écrit avec et à l’invitation d’Erwan Larcher au Vive le sujet du Festival d’Avignon. Elle crée “Tanit”, quatuor, à l’occasion de la Nuit blanche 2022 à l’invitation du centre d’art de Malakoff dirigée par Aude Cartier.
En 2023, elle crée “brutal syntax”, pièce curatée par Christine and the Queens pour le festival Meltdown à Londres et invite Kelman Duran à y composer le son, elle performe l’été dans “Hustle harder” d’Adam Linder, pièce pour le Museum of contemporary art of Sydney. Elle crée en septembre “sassy” un workshop avec les étudiants des Beaux-arts de Paris à l’invitation de Madeleine Planeix-Crocker et d’Amélie Coster pour le festival Echelle humaine à Lafayettes anticipations.
Elle prépare sa prochaine création, “Nymphe”, pour le printemps 202 à KLAP Maison pour la danse, invitée par David Dibilio.